Le goût des autres – devoir 170 – chaleur


Le Goût des autres

Mes divagations spirituelles ( bien modestes)

Je ne sais ni comment je vis ni encore moins comment je survis. Peut-être parce que je vis dans un coin perdu de nature où les forêts domaniales sont encore très importantes. Le fait est que la canicule telle que les médias nous l’imposent n’est pas arrivée jusque dans mon jardin. Oh la la je vous entends quelle veine cette Lilou encore inconnue qui vient donner un coup de pied dans une fourmilière installée depuis bien longtemps dans la blogo.

Rassurez-vous comme tout un chacun, je souffre de la chaleur et que loin de me liquéfier, je me dessèche car mon eau, je la perds tant et plus. Alors je m’installe un petit ventilo qui se branche sur mon ordi un autre près de mon fauteuil préféré, car lorsque je regarde la télé, et oui, il arrive que quelque programme présente un intérêt, faible, je l’accorde ou bien un petit polar pour lequel le coupable se découvre immédiatement, l’émotion monte et là je me remets à perdre mon eau. Mieux encore, je me mets en mode « grotte » tout fermer : cependant ce n’est pas le top ; l’hiver on ferme pour le froid et l’été pour la chaleur. J’ai l’impression d’hiberner tout l’année. Quand vais-je respirer normalement ?   Et là je m’interroge, comment Pithécanthrope, Neandertal et autres homos de tous poils supportaient-ils les intempéries ?Ont-ils pensé que nous les Homos sapiens « développés et évolués, enveloppés de leurs connaissances » souffriraient d’un tel changement climatique eux qui sortaient de la période glaciaire. Comment je suis dans l’anachronie et dans l’uchronie tant pis. Je vais de ce pas quitter ce vêtement qui me tient trop chaud et me balader toute nue…

Tintin dans tout cela ? je n’aime pas la BD mais je me souviens d’avoir feuilleté cet album où le Haddock souffrant d’hallucination étranglait ce pauvre Tintin voulant faire sauter le bouchon d’une bouteille de champagne.

7 réflexions sur “Le goût des autres – devoir 170 – chaleur

  1. Tu as bien de la chance de ne pas devoir fermer les volets, les fenêtres et d’être entourée d’arbres pleins de feuilles qui assurent un peu de fraîcheur dans cette canicule imposée par le soleil et l’atmosphère plus que par le media… ;-).

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  2. Ah, ah ! tu parles de te promener toute nue mais moi l’été 76 où il avait fait si chaud, je restais en maillot de bain chez moi ! (en plus j’habitais sous les toits ..)

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  3. Avec ton pseudo, tu ne pouvais pas ne pas traiter le sujet… 😉

    Je ne sais plus où j’avais lu cette définition du « beau temps » :
    « Le beau temps, c’est n’importe quel temps…
    qui ne dure pas trop longtemps. »

    Je pense que c’est une très bonne définition.
    Le seul temps supportable, c’est un temps qui change en permanence,
    c’est une alternance de soleil, de pluie, de vent, de neige.
    On n’apprécie l’un que par rapport à l’autre.

    L’alternance et la modération, c’est la vie.
    Les extrêmes nous détruisent.

    C’est la même chose, d’ailleurs, pour nos émotions, qui, elles aussi, sont parfois aussi « déréglées » que le climat. A voir si les deux n’auraient pas quelque chose en commun…;-)

    Bon voyage…Lilou
    et…comme dirait Georges Feydeau,
    « ne te promène pas toute nue » ! :-)))
    (surtout dans ces pays-là, ce n’est pas recommandé)

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