Allons faire un tour chez Blogosth


chez Bernie
tout est sur cette broderie.
13 lettres pour ce nom masculin
E O O O U S T R P H D N B
définition : Une écriture qui ne s’arrête jamais en bout de ligne allant de gauche à droite puis de droite à gauche.
Facile de chez facile je crois avoir déjà vu passer ce mot.
A vos dicos et pensez à mettre un titre à votre texte si vous pouvez bien sûr
Rappel
Salvador Dali
Oh mais je vous entends déjà Dali l’original , le fou etc. Pas du tout enfin pour moi c’est un génie mais je comprends que l’on soit un peu rebuté par sa peinture. Pourtant j’aime tellement les Impressionnistes et bien cela ne m’empêche pas d’avoir beaucoup d’émotion devant cette toile ! cette femme endormie avec pour simple couverture que la mer c’est un génie. Les couleurs sont magnifiques et la jeune femme endormie sur son livre est très belle. Bien sûr ce n’est que mon avis.
et pour montrer que tous les styles étaient pratiqué par ce Maître, voilà une deuxième toile de Dali pour une femme endormie dans un paysage
Chez les aminautes :
Amande Douce Archibald Mcglashan enfant endormi très belle toile
Covix je ne peux plus me connecter chez toi une menace de mon antivirus !
Fardoise où l’on voit les Beatles
Les bonheurs de Sophie Tamara de Lemplika
Martine Tortue Vincent Van Gogh
Monica Breitz Vincent Van Gogh un doublon mais une toile tellement belle !
Zaza Rambette Jean François Millet et un triple Van Gogh
Je suis étonnée mais personne n’a pensé à ce sublime tableau de Greuze. il a peint beaucoup d’enfants.
Si j’ai oublié quelqu’un, pas de panique il suffit de mettre un commentaire avec le lien et je corrige.
Pour le prochain thème j’avais pensé au thème » enfant et animaux » mais il mais semble qu’il a déjà été vu (cela dit, il est inépuisable) aussi je vous propose de nous lancer dans la couleur « JAUNE ». Vous avez bien sûr la possibilité de choisir ; les tableaux du samedi vous appartiennent, avec Fardoise nous ne sommes que les passeurs. Avec le sourire
Lors d’une visite à Ornans pays de Gustave Courbet, j’ai visité la boutique de Suzy Deschamps, pastelliste et je lui ai demandé si je pouvais m’inspirer de ces modèles.
En voici un
Pourquoi la sapience ? Parce que c’est la sagesse et que nous sommes des Homos sapiens donc des hommes sages !
Alors billevesées ou coquecigrues
Définition : Reconnaître l’évidence ou être fin et rusé
Origine
Expression française qui fut utilisée en premier lieu par François Villon dans sa ballade des menus. Toutefois, il est possible de la retrouver tout autant dans les œuvres de Rabelais.
La comparaison utilisée va être interprétée comme le fait de savoir discerner le blanc du noir. A ce titre notre expression est à double sens puisque elle peut démontrer tout aussi bien le fait de montrer des différences avec une certaine subtilité et de ne pas faire de mélange.
Zaza : faire avancer le schmilblick
Monica Breiz : se brûler les ailes
petit oubli hier l’article est resté dans les filets.
Maîtresse Jill appelle Azeline dans la cour
Prénom Azeline
Azeline était assise près de Nounou. Elle passait tout son temps près d’elle. Nounou était la seule qui lui souriait, lui parlait ou fredonnait des petites mélodies ; elle aimait cette voix douce qui la berçait. Elle fermait ses paupières lisses et se laissait emporter loin, loin ; dans un monde où Maman la prendrait par la main et murmurerait des mots tendres. Elle implorait le ciel pour qu’un jour enfin, Maman la verrait.
Azeline était une jolie petite fille avec des belles boucles brunes ; une petite mèche rebelle tombait élégamment sur son front haut. Son teint blanc faisait ressortir des yeux d’un vert gris très doux bordés d’une frange de cils étonnamment longs. Sa bouche toute petite rosée éclairait un visage souriant. Pourtant Azeline n’était pas comme les autres enfants, elle était atteinte d’autisme. Quel était son degré ? Personne ne savait, on ne s’en préoccupait pas. Ses parents la laissaient volontiers à Nounou qui l’adorait comme la propre fille qu’elle avait perdue.
Elle portait souvent un pull en mohair rouge tricoté par Nounou pour noël. Elle aimait ses poils de laine hérissés et machinalement elle triturait les débris qui inévitablement tombaient. Elle attrapait alors une feuille de papier toujours à sa disposition dans un tiroir du placard. Elle les plaçait avec d’autres trésors et les collait. Nounou lui avait montré comment se servir de colle.
Azeline réalisait ainsi des décors avec les épluchures des légumes, avec des graines de haricots ou de grains de café ; ses doigts étaient fins et habiles. Elle avait composé un joli bouquet de fleurs avec de grands pétales jaunes en maïs s’inspirant du rideau qui cachait les ustensiles de cuisine de Nounou. Elle avait même récupéré un bout de sparadrap que Nounou avait découpé trop grand lorsqu’elle s’était coupée en pelant un oignon. Toutes ses productions étaient harmonieuses aucune discordance dans les teintes choisies… Un don aurait dit un spécialiste…
Nounou gardait précieusement tous ces travaux. Elle écrivit secrètement à Jean Dubuffet. Oui Nounou osa !
C’est ainsi que quelques œuvres de Azeline se trouvent exposées à Lausanne.