Madame Jill appelle cette semaine Ladislas.
Mimosa n’a pas pu pointer son nez. Pourtant elle est tellement douce avec sa peau duveteuse et si parfumée ; entre son internet et ses assos dont la compta est à remettre en ordre et c’est pas un euphémisme, Lilou n’a pu aller la chercher pour la mener à l’école. Alors cette semaine un peu apaisée, voilà Ladislas. Pas n’importe lequel :
père de famille et médecin (✝ 1931)
« Ce qui est faiblesse de Dieu est plus fort que les hommes’ (1 Co 1, 25). Ces paroles du saint Apôtre Paul reflètent la dévotion et le style de vie du bienheureux Lászlo Batthyány-Stratt-mann, qui fut père de famille et médecin. Il utilisa le riche héritage de ses nobles ancêtres pour soigner gratuitement les pauvres et pour construire deux hôpitaux. Son intérêt le plus grand n’était pas les biens matériels, et le succès et la carrière ne furent pas non plus les objectifs de sa vie. Il enseigna et vécut tout cela au sein de sa famille, devenant ainsi le meilleur témoin de la foi pour ses enfants. Tirant sa force spirituelle de l’Eucharistie, il montra à ceux que la Divine Providence conduisait à lui la source de sa vie et de sa mission.
Le bienheureux László Batthyány-Strattmann ne plaça jamais les richesses de la terre avant le vrai bien qui est dans les cieux. Que son exemple de vie familiale et de généreuse solidarité chrétienne soit un encouragement pour tous les fidèles à suivre fidèlement l’Évangile. »
À Vienne en Autriche, l’an 1931, le bienheureux Ladislas Batthyany-Stratmann. Père de famille, il fut par sa vie et son action, un témoin de l’Évangile, aussi bien en famille que dans la société. Médecin, il fit honneur à son art et montra une grande charité en assistant les malades, pour qui il fonda des hôpitaux, où il n’accueillait que les pauvres et les indigents.
Martyrologe romain
Comment vous dites maîtresse Jill, elle s’est pas fatiguée la Lilou ? Mais si il a fallu qu’elle brave les chemins incertains de l’informatique et de Wikipédia pour trouver un Ladislas digne d’aller dans votre cour de Récré.
Blague dans le coin, il est vrai que je suis un peu débordée par mes assos et je laisse un peu trop mon blog. Vivement les vacances !
Merci Madame Jill